lundi 20 août 2007

La place Rouge était vide…


… pas tout à fait, mais pas aussi terrible qu’on aurait pu le cauchemarder.

Parlant de cauchemars, j’en donne un certain nombre à Fred et Joe, en tout cas, de bonnes occasions de râler : je ne tiens pas debout ! Ni assis d’ailleurs. Du coup, comme il est finalement rare qu’il y ait une tyrolienne à dispo devant chaque monument (comme devant l’église Basile le Bienheureux), l’un d’entre eux doit sacrifier un bon quart d’heure pour me maintenir devant l’objectif de l’appareil photo de l’autre. Rien de pire, semblerait-il, que de tenter de faire le point sur un objet petit, proche et en mouvement perpétuel (moi, en rotation de préférence) devant un objet immense, immobile et lointain (le monument). Personnellement, ça m’amuse plutôt !

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